Un premier licenciement sans cause réelle et sérieuse
Licenciée pour faute grave par la DOTC, l'ensemble des accusations portées par le médecin et la DRH contre la première infirmière qui était soutenue par SUD, se sont effondrées devant la justice. Le Conseil des prud'hommes n'a reconnu aucune faute et requalifié le licenciement sans cause réelle et sérieuse. La Poste n'a pas jugé bon de faire appel, reconnaissant par là même
son erreur.
Deux ans après, l'infirmière nouvellement recrutée est déclarée inapte au poste après son dernier arrêt maladie ! Non pas à exercer le métier d'infirmière, mais à l'exercer précisément dans le service santé au travail de la Roche sur Yon. La salariée demande la reconnaissance de l'accident de travail, car cet arrêt de travail découle directement des relations professionnelles avec le médecin. L'inspection du travail est saisie.
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