La liberté d’expression s’arrête à la porte des centres courriers du 44/85…
« Je suis Charlie ». Ce message symbolique était placardé sur le site internet du groupe La Poste.
Les personnels des centres courriers ont même respecté une minute de silence en mémoire des caricaturistes de Charlie Hebdo, tués pour leur liberté de ton, leur liberté d’expression.
Le même jour, La Poste révoquait Yann Le Merrer, militant Sud des Hauts de Seine, pour prises de paroles « non autorisées » ??? Ce cas s’ajoute aux nombreuses suspensions et licenciements pour
« faits syndicaux », un peu partout sur le territoire. La Poste, pressé de faire « place nette », pour vendre son capital aux actionnaires, veut se débarrasser des perturbatrices et perturbateurs.
Voir le tract en PDF